un film de Karaman Karaman et Muhammad Hussein
21-03-2020
L’apartheid israélien, le COVID-19 et les prisonniers palestiniens: la liberté maintenant!
Samidoun 26-03-2020
Les prisonniers palestiniens et les organisations de défense des droits de l’homme ont de sérieuses inquiétudes quant à la menace de coronavirus dans les prisons israéliennes.
Que se passera-t-il si le Coronavirus atteint la bande de Gaza sous blocus?
Ramzy Baroud 11-03-2020
Ce qu’il faut, c’est un changement fondamental et structurel qui émanciperait le système de santé palestinien des effets si néfastes de l’occupation israélienne et des politiques de siège perpétuel et de quarantaines politiques – connues sous le nom d’apartheid – imposées par le gouvernement israélien.
«42 genoux en un jour»: des snipers israéliens se vantent de leurs actes criminels
Hilo Glazer 10-03-2020
«L’officier supérieur demandait l’autorisation de tirer au commandant de la brigade du secteur. Il lui parlait à la radio et lui posait la question: ‘Puis-je ajouter un autre genou pour cet après-midi?'»
Nulle part, dans les 181 pages que comporte ce plan, n’apparaît le mot qui décrit la situation telle qu’elle a cours dans cette région. C’est le mot « occupation ». Dans toute sa sécheresse juridique, il recouvre la réalité vécue par chaque Palestinien au cours des cinquante-deux années écoulées, dans cette région dont Jared Kushner et Donald Trump voudraient décider du sort.
Il y a quelques années, l’ONU a prédit que la bande de Gaza pourrait devenir invivable en 2020. Pourtant, plus de deux millions de personnes habitent toujours dans ce petit territoire palestinien, sans eau potable naturelle, avec un accès limité à l’électricité, cernés par les déchets et une mer polluée. Victime de la surpopulation, du manque d’espace et l’épuisement des ressources, la bande de Gaza subit une crise environnementale majeure qui est une véritable bombe à retardement.
Les grèves de solidarité s’étendent dans les prisons
Samidoun 05-01-2020
Alors que le prisonnier palestinien Ahmad Zahran entame son 103ème jour de grève de la faim, un nombre croissant de prisonniers palestiniens sont en grève en solidarité avec lui pour réclamer sa libération
Pétition "Israël doit libérer tous les enfants palestiniens détenus
No way to treat a child 03-2020
Selon la documentation collectée par DCIP, les enfants palestiniens emprisonnés par les autorités israéliennes vivent en proximité directe les uns avec les autres, souvent dans de mauvaises conditions sanitaires, avec un accès limité aux ressources nécessaires pour maintenir un niveau d’hygiène minimum.
Le bulldozer israélien qui balançait Naem comme si un agneau sacrificiel, devant des caméras de télévision au milieu de la journée, bien que involontairement, a envoyé un message au reste du monde: «c’est nous, Israël, qui est le bulldozer, et ce sont eux, Naem, les Palestiniens, dans toute leur vulnérabilité, leur nudité et leur écrasement, et personne ne peut rien y changer».
Il n’y a pas beaucoup d’endroits dans le monde où les mots «plus jamais ça» devraient résonner autant que dans les limites de cet immense ghetto, créé par l’État des survivants de l’Holocauste. Ne pas aller à Gaza et voir ce qui se passe là-bas? Ne pas vous identifier au sort de deux millions d’êtres humains enfermés dans un camp de concentration depuis 14 ans, à une heure de route de Jérusalem? Comment est-ce possible ? Ne pas crier «plus jamais» à Gaza? Comment ne le peuvent-ils pas?
Gaza: Salwa, rescapée de la frappe aérienne israélienne qui a tué toute sa famille
Médecins Sans Frontières 17-01-2020
Salwa a survécu à une frappe aérienne israélienne qui a tué sa famille lors de l’escalade militaire entre l’armée israélienne et le groupe du Jihad islamique dans la bande de Gaza en novembre 2019. En trois jours, les frappes aériennes israéliennes ont tué onze civils à Gaza. Huit étaient des enfants. Les autorités israéliennes ont reconnu qu’une évaluation erronée a mené à l’attaque qui a tué neuf membres de la famille de Salwa : ses parents, ses frères, sa tante, son oncle et ses cousins.
C’est comme ça quand on s’amuse, le temps file. Il y a huit ans, en 2012, les Nations Unies ont publié un rapport intitulé «Gaza en 2020: un endroit vivable?» La réponse était contenu dans le corps du rapport: non. Sauf si des mesures étaient mises en œuvre pour la sauver.Aucune réelle mesure n’a été prise mais les projections dans ce rapport sévère ne sont en plus pas confirmé: la situation est bien pire que ce qu’il prédisait.